Sonata in Mi- Opera 290 di Polibio Fumagalli - Studi, musica e cultura

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Sonata in Mi- Opera 290 di Polibio Fumagalli

Suonate organistiche
Sonata in Mi- Opera 290
di Polibio Fumagalli 


"Una volta che noi avessimo da raddoppiare tutti i Principali, ottenere un maestoso pieno, allungamento della pedaliera di due ottave, levare il facchinaggio del tiratutti, noi con due tastiere possiamo ricavare buon risultato perché assolutamente abbiamo del buono, e buono che non bisogna trascurarlo [...]" (Polibio Fumagalli all'avvocato genovese Pier Costantino Remondini, appassionato d'organo ed entusiasta promotore della "riforma ceciliana" che, nell'ultimo ventennio del secolo scorso, cambiò radicalmente il mondo organistico italiano.) Le sujet que j'ai 
proposé se veut d'identifier les caractéristiques de la musique d'orgue italienne au tournant du vingtième siècle et aussi les profondes relations qu'elle entretient avec le développement de l'art de l'orgue. Les auteurs traités, Polibio Fumagalli, Marco Enrico Bossi, Oreste Ravanello, Ottorino Respighi et bien d'autres qui, pour des raisons de place dans cet exposé ne peuvent pas être citées. Je pense ici à Giovanni Tebaldini, Giovanni Pagella, Lorenzo Perosi, Vincenzo Petrali, Filippo Capocci, qui sont des compositeurs de la même génération qui ont pris sur eux un project combien exigeant à savoir: renouveler, dépasser le style de l'ancienne et déjà fatiguée tradition de l'orgue du dix-neuvième siècle en faveur d'une nouvelle forme en accord avec le symphonisme européen. L'élément qui les unit vraiment et les distingue est la redécouverte d'une ancienne tradition instrumentale et polyphonique, antérieure aux gloires de l'Opéra du XIXe siècle. Le renouveau de la musique italienne du XXe siècle doit son succès et son originalité à l'équilibre harmonieux progressivement atteint par ces deux forces apparemment pourtant divergentes, mais visant à la même fin. Si elle était fondée uniquement sur l'imitation des modèles étrangers même les plus modernes, ce serait un mouvement sans racines et incapables de pénétrer dans la conscience de la nation. Elle ne pourrait produire rien d'autre que de mauvaises copies ou même imitations. Mais le style vocal a toujours représenté une tentation irrésistible pour les musiciens italiens. Cette tendance qui pourrait se confondre avec d'abord un résidu du passé du XIXe siècle, qui n'aurait d'ailleurs pas tout à fait convaincu, s'est avérée plus tard, être la force de son originalité. Giovanni Panzeca all'organo Mathis della chiesa di St. Maurice, Friburgo (CH) Le grand orgue de l'église Saint-Maurice (les Augustins) de Fribourg est un instrument construit, en 1764, par Joseph Anton Moser, facteur fribourgeois (père d'Aloys Mooser, auteur du grand orgue de la cathédrale Saint-Nicolas). L'orgue des Augustins fut agrandi par Aloys Mooser en 1813. Il fut ensuite retouché, entre 1855 et 1908, par divers facteurs (J. Scherrer, C. G. Schlegel, J. Haller, Péan-Coquoz et Goll). De 1985 à 87, la Manufacture Mathis de Näfels en fit une reconstruction conforme aux travaux ayant été exécutés jusqu'en 1813. Grand-Orgue (do1-fa5): Bourdon 16', Montre 8', Bourdon 8', Gambe 8', Prestant 4', Flûte 4', Doublette 2', Fourniture 3r 2', Scharf (Mixture aiguë) 2r 1', Cornet (à partir du do3 ) 5r 8', Trompette 8'. Positif (do1-fa5): Bourdon 8', Prestant 4', Flûte bouchée 4', Nasard 2 2/3', Flageolet 2', Tierce 1 3/5', Cymbale 3r 2', Voix humaine 8', Tremblant. Pédale (do1-fa3): Flûte 16', Soubasse 16', Octave 8', Bourdon 8', Octave 4', Bombarde 16', Trompette 8'. Accouplement des claviers à tiroir. Tirasse pour GO/P (Coupelon). Tempérament légèrement inégal.
Organo: Giovanni Panzeca
 
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